Crédit : familysante

Affronter le métro, enchainer les réunions, prendre des décisions… Une journée classique pas des plus reposantes. On préfèrerait de loin rester chez soi pour s’occuper des petits. Pourtant, gérer ses enfants toute la journée pourrait ne pas être si reposant. Et c’est la science qui le dit !

Cependant, une étude sur le sujet auprès de 1 500 parents au Royaume-Uni révèle que c’est le fait de travailler qui serait plus facile.

Selon cette étude, 31 % des nouveaux parents interrogés considèrent le fait de rester à la maison après la naissance d’un enfant pour s’en occuper comme beaucoup plus difficile que de retourner au travail.

L’étude a été menée par AVEENO BABY SKIN dans l’intention de réconforter les nouveaux parents et pour leur donner confiance en eux. Rebecca Bennett, experte de l’entreprise, explique : « Devenir parent est une expérience incroyable, mais nous comprenons que le fait d’entrer dans ce nouveau chapitre de la vie peut également entraîner beaucoup de stress et d’inquiétude.  »

Si les trois quarts des parents sondés considèrent que prendre soin d’un nourrisson à temps plein est une besogne laborieuse, c’est en grande partie parce que les besoins de celui-ci sont tels qu’ils nécessitent que le parent se consacre entièrement à lui et lui dédie tout son temps, ne s’organisant qu’en fonction de son enfant.

Rester à la maison avec un ou plusieurs enfants en bas-âge est un choix généralement dévalorisé par l’entourage, les amis ou la famille et est considéré la plupart du temps comme étant une situation assez confortable dont il ne faudrait pas se plaindre. Or, à l’instar de ce que clame la plupart des pères et des mères au foyer, cette activité ne se résume pas simplement à regarder la télé et à assister tranquillement au spectacle de son bébé qui grandit.

Si les trois quarts des parents sondés considèrent que prendre soin d’un nourrisson à temps plein est une besogne laborieuse, c’est en grande partie parce que les besoins de celui-ci sont tels qu’ils nécessitent que le parent se consacre entièrement à lui et lui dédie tout son temps, ne s’organisant qu’en fonction de son enfant.

Rester à la maison avec un ou plusieurs enfants en bas-âge est un choix généralement dévalorisé par l’entourage, les amis ou la famille et est considéré la plupart du temps comme étant une situation assez confortable dont il ne faudrait pas se plaindre. Or, à l’instar de ce que clame la plupart des pères et des mères au foyer, cette activité ne se résume pas simplement à regarder la télé et à assister tranquillement au spectacle de son bébé qui grandit.

Cette décision peut certes comporter certains privilèges, mais demande en échange de grosses contreparties, un investissement total dans l’éducation de ses enfants et des sacrifices, des choses que les personnes ne réalisent le plus souvent qu’une fois devenues parents.

Pour certains parents habitués à aller au travail de 8h à 18h, rester à la maison avec un nouveau-né semble être la solution idéale. Cependant, cet idéal peut vite ressembler à un quotidien bien difficile. Oui, il est possible (en fin de compte) de survivre avec 4 heures de sommeil, mais à quel prix ? Devenir parent est une expérience incroyable, mais ce nouveau chapitre de la vie est également riche en stress et en inquiétudes. On ne s’en doute pas toujours…

Dans le reste du sondage voici d’autre chiffres : 55 % des parents confient qu’avoir un bébé est synonyme de “travail intense”, et 20 % admettent qu’être parent est “très difficile”. Ils sont nombreux à confier qu’être jeune parent est difficile, mais 48 % des personnes interrogées qualifient quand même le parcours de parent d’“expérience parfaite”.

71 % des personnes interrogées ont également admis que les réseaux sociaux les encourageaient à dépeindre leur nouvelle vie de manière compétitive. 22 % ont même confié que les plateformes sociales exacerbaient l’idée d’être le “parent parfait”.

Être parent est quand même facile pour un quart des personnes interrogées, mais l’étude conclut que fonder une famille nécessite beaucoup d’efforts, et ce peu importe le nombre de livres lus ou de recherches Google effectuées !