Difficile d’imaginer le monde aujourd’hui sans internet. Un monde où il n’y a pas d’e-mails, pas de moteurs de recherches qui recensent des milliards d’informations, pas de plateformes de vidéos, ni d’applications qui facilitent nos vies. Aujourd’hui, grâce aux avancées technologiques, on peut se connecter à internet haut débit même dans des lieux reculés. Cependant, avant de dormir, il est recommandé de désactiver le Wifi pour une raison pertinente.
Pourquoi alors doit-on désactiver le Wifi pendant nos heures de sommeil ? Découvrons tout de suite !
Le Wifi de notre téléphone, un danger caché
Le wifi est devenu essentiel dans notre foyer, sur notre lieu de travail, ou encore à l’école. Il nous permet ainsi d’accéder à de multiples outils utiles, et cela peu importe où l’on se trouve.
La pollution électromagnétique est à l’origine de nombreux problèmes de santé ces dernières années. Puisqu’il utilise les ondes, le wifi de notre téléphone peut lui aussi représenter un réel danger. Peu connus du grand public, ses effets peuvent faire évoluer notre état de santé.
Plusieurs experts qualifient le wifi « d’ennemi silencieux « , puisqu’il émettrait des niveaux de radiation préoccupants. Seulement, aujourd’hui il est quasiment impossible de s’en passer.
Pourquoi désactiver le Wi-Fi sur votre téléphone portable la nuit ?
En désactivant le Wi-Fi, vous bloquez la recherche automatique des réseaux Internet et Par conséquent, évitez de décharger la batterie de votre appareil mobile.
La désactivation de votre réseau sans fil ne vous réveillera pas non plus avec plusieurs notifications d’applications sur votre téléphone. Alors si tu peux Éteignez votre téléphone pour une meilleure qualité de sommeil.
Pour désactiver le Wi-Fi, accédez à réglages Sélectionnez ensuite l’option Sans fil et désactivez-le. Vous pouvez également mettre le téléphone en mode avion la nuit pour interrompre la couverture réseau.
Il est également possible d’éteindre la box wifi, ce qui réduit la consommation d’énergie et économise de l’énergie en même temps.
